dr. Éric Topol :
Nous pouvons faire beaucoup, plus.
Comme souligné dans le briefing d’hier par l’équipe de la Maison Blanche et le CDC et le NIH, nous devons faire monter les boosters là où ils se trouvent. Parmi les personnes à haut risque de plus de 50 ans, seule une personne sur quatre dans ce pays a eu une quatrième injection. Et de tous les Américains, seul un sur trois a eu un rappel, à savoir – 67 dans le monde, William, parmi des pays comme le Sri Lanka et le Rwanda, l’Iran.
Je veux dire, c’est vraiment embarrassant. Je veux dire, c’est nous qui avons fabriqué et validé ces vaccins en un temps record, et ici nous n’utilisons pas cela comme notre protection.
Il en va de même pour les inquiétudes du CDC concernant nos périodes d’isolement. Si quoi que ce soit, où ils disent cinq jours et vous êtes prêt à partir si vous n’avez aucun symptôme, le cas échéant, avec BA.5, cela pourrait très bien s’étendre. Mais l’infectiosité médiane après COVID est de cinq jours, et non de cinq jours d’isolement. C’est la médiane.
Donc, nous sommes – pour renvoyer les gens après cinq jours, le CDC ignore vraiment cela. Le CDC compte toujours complètement vacciné comme deux doses. Et depuis un an on connaît l’importance des boosters, même de retour à la variante Delta. Et ça n’a jamais été le message principal, un potentiel salvateur pour les personnes à risque, surtout pas par le biais du CDC.
#nouvelle #variante #COVID #BA.5 #entraîne #des #infections #des #réinfections #élevées